Je me fou de Tahiti ou de Bora Bora
Je n’ai besoin d’aucune île sous le vent
J’aime biensûr découvrir mon pays à quelques kilomètres de moi
Mais mon paradis est celui de chez moi
Qu’au petit matin je traverse en suivant mon chat
De mes pieds nus dans l’herbe saisie par la fraîcheur de la rosée
Je me mets tout simplement à lever le nez
Rassurée du ciel immaculé
Du silence apaisant troublé de mille chants
Les hirondelles font leur balet
Je suis rassurée de voir si nombreuses ses princesses de l’été
Observer les fleurs de la belle saison
Mon paradis il n’est pas de paillettes convoitées
Il est tout simple et de mes yeux savoir l’observer
Il devient riche comme de l’or.